Dans sa série Miroirs aux alouettes, initiée en 2016, Olivier Lovey crée des images impossibles, proches du surréalisme, en collant des stickers dans l’espace public ou d’exposition. En confondant le réel et son double, il questionne les limites de l’image et de la représentation. Le photographe revisite notamment la notion de perspective, de trompe l’oeil et de mise en abyme. Initialement pensées pour être des photographies, ses oeuvres fonctionnent cependant également comme des installations.